Paramétrages de cookies

×

Cookies fonctionnels

Ce site utilise des cookies pour assurer son bon fonctionnement et ne peuvent pas être désactivés de nos systèmes. Nous ne les utilisons pas à des fins publicitaires. Si ces cookies sont bloqués, certaines parties du site ne pourront pas fonctionner.

Contenus interactifs

Ce site utilise des composants tiers, tels que ReCAPTCHA, Google Maps, MailChimp ou Calameo, qui peuvent déposer des cookies sur votre machine. Si vous décider de bloquer un composant, le contenu ne s’affichera pas

Réseaux sociaux/Vidéos

Des plug-ins de réseaux sociaux et de vidéos, qui exploitent des cookies, sont présents sur ce site web. Ils permettent d’améliorer la convivialité et la promotion du site grâce à différentes interactions sociales.

Autres cookies

Ce CMS Joomla utilise un certain nombre de cookies pour gérer par exemple les sessions utilisateurs.

L'approche crânienne de l'ostéopathie

Rappelons que l'application du concept crânien à l'ostéopathie est l'oeuvre de William Garner Sutherland (1873-1954).

Elève direct de Still, il a eu l'idée, en observant un crâne osseux semi-désarticulé, que la présence d'articulations pouvait signifier l'existence d'un mouvement.

D'abord incrédule, et hostile à cette idée, son travail de dissection et d'analyse anatomique, puis de palpation sur son propre crâne, puis sur celui de patients l'a finalement convaincu qu'une mobilité est bien présente dans la sphère crânienne et qu'elle est importante à maintenir ou à rétablir.

sutherland-02

Préalable important


  • Ce que nous allons décrire dans les lignes qui suivent est une tentative pour modéliser, conceptualiser ce que nous vivons en tant que praticiens, lorsque, grâce à notre palpation affinée, nous entrons en relation avec les tissus vivants de nos patients et avec leur crâne.
  • Aucune des propositions qui suivent n'a aujourd'hui été validée au niveau scientifique (sauf, bien entendu tout ce qui est relatif à l'anatomie, la physiologie, la pathologie, etc.).
  • Pourtant, ces concepts, lorsqu'ils sont mis en pratique, apportent aide et soulagement à nos patients. À ce titre, il méritent de continuer d'être utilisés, même si nous n'avons pas encore d'explication irréfutable quant à leurs mécanismes intimes.

Sommaire