Quelques points essentiels (désolé, Mr. Décrets) |
Dans toutes les affections qui viennent d'être évoquées, la rapidité d'intervention est absolument essentielle.
Au niveau de la forme
- La principale raison des altérations dans la forme, vient des parties comprimées, « gelées » qui ne permettent pas le développent normal de la structure (jeune pousse courbée).
- Contrairement à ce que l'on pourrait croire, ce n'est pas l'ostéopathe qui corrige. Il se contente de relâcher, de « dégeler ».
- Une fois la libération tissulaire réalisée, c'est le système lui-même qui s'auto-corrige (pouvoir d'autoguérison), grâce à la poussée de croissance interne, particulièrement puissante dans les premières semaines de la vie.
- Au niveau du crâne, il faut agir dans les trois premiers mois.
- Plus on avance dans le temps, plus cette puissance interne va diminuant, donc moins le potentiel interne d'auto correction est fort.
Dans la relation structure/fonction
Implique que si la structure est profondément altérée, la ou les fonctions qui lui sont associées courent le risque de l'être aussi. Plus on libère tôt,
- moins les cycles de compensations sont engagés et intégrés ;
- plus le système a de chance de reprendre sa « route normale » ;
- moins il y aura de conséquences dans le développement psycho-moteur de l'enfant.
Alors que faire ?
Je ne vois pas d'autre solution que d'insister auprès du médecin traitant pour qu'il accorde ce fameux certificat de non-contre-indication...
C'est de l'avenir de votre enfant qu'il s'agit !